Accident Vasculaire Cerebral : Voici comment le detecter tres tot pour le prevenir

Plus couramment connu sous le nom d’AVC, l’accident vasculaire cérébral est une grave pathologie du cerveau. Il est plus fréquent chez les personnes âgées. La bonne nouvelle, c’est qu’il peut non seulement être évité, mais encore dispose d’un moyen de traitement. Découvrez ici comment vous y prendre.

L’AVC : Qu’est-ce que c’est ?

L’accident vasculaire cérébral est la destruction d’une partie du cerveau. Il survient très souvent quand une zone cérébrale manque d’oxygène. En effet, toutes les cellules du cerveau vivent et se reproduisent grâce à l’apport constant du sang riche en oxygène. Dès lors, il suffit que le flux sanguin vers une chambre soit interrompu par un quelconque obstacle pour que la personne soit exposée à l’AVC.

De manière précise, quelques minutes de manque d’air suffisent largement pour mettre en dysfonctionnement la zone cible. Dans la majorité des cas, cet état de choses peut générer, selon le cas, deux conséquences majeures. En ce qui concerne la première hypothèse, la personne sera atteinte d’une lésion au cerveau. Dans le second cas qui est le plus fréquent chez les femmes, cette erreur organique peut être fatale.

Quelles sont les différentes formes d’un AVC ?

Les études neurologiques ont révélé trois formes d’accident vasculaire cérébral. Primo, l’AVC dit ischémique est la première forme de l’accident vasculaire cérébral. Elle est encore appelée l’obstruction d’une artère. Elle est la conséquence directe d’une réduction de l’oxygène dans certaines zones du cerveau. Lorsque les artères se bouchent, le flux se bloque et déclenche un infarctus cérébral.

Secundo, vous avez l’AVC hémorragique. À l’opposé de l’ischémique, c’est la rupture d’un vaisseau sanguin qui le provoque. Il peut être dû à l’hypertension artérielle ou à une malformation vasculaire. Tertio, le mini-AVC est la troisième forme d’AVC la moins grave. Elle provient d’une obstruction des artères. Il faut souligner que 80 des cas de décès sont provoqués par la forme ischémique.

Comment se manifeste l’accident vasculaire cérébral ?

Plusieurs signes peuvent vous annoncer la venue imminente d’un AVC chez une personne. En effet, la pathologie cérébrale, selon la phase ou les formes, peut présenter de nombreux symptômes. Ce sont l’ensemble des troubles et transformations qui vous permettent de savoir si vous êtes attaqué par la maladie.

Statistiquement, trois signes fondamentaux sont les plus remarqués. Il s’agit, entre autres, des troubles de la parole, de l’inertie membrane, qui peut aller à la paralysie. En dehors de ces symptômes graves, des signaux comme le vomissement, la céphalée ou même la pâleur doivent vous interpeler. Une action urgente pourrait prévenir le risque d’accident vasculaire cérébral. Cependant, si vous êtes déjà sous son emprise, l’option reste un traitement rapide.

L’AVC : Quels sont les modes de prévention et de traitement ?

Pour empêcher l’AVC de vous atteindre, le traitement de certains facteurs devra vous aider. En effet, d’autres maladies appellent naturellement cette pathologie cérébrale. C’est le cas de l’hypertension artérielle. Une tension trop forte est un grand risque. De plus, les conséquences du tabagisme sur la pollution du sang et la santé vous exposent gravement à l’AVC. Il en est de même de l’anévrisme qui se matérialise par une poche au niveau de l’artère. Il faut mentionner que la santé filiale peut constituer un haut risque sanguin. C’est le cas lorsque vous avez dans votre famille quelqu’un qui l’aurait subi.

En ce qui concerne le traitement, il varie selon le niveau de la maladie. Qu’il soit sanguin ou issu de facteurs étrangers, le premier réflexe est de vite rechercher le caillot. Lorsqu’il est hémorragique, c’est l’arrestation du saignement qui devrait remplacer la résolution du caillot. Dans tous les cas, lorsque l’AVC se manifeste, vous ne devez plus perdre du temps.